CHAPITRE PREMIER – LE SANG
LES ORIGINES DE LA COURONNE
L’histoire officielle nous conte ce qui suit.
La maison de Windsor est le titre de la famille qui règne sur le Royaume-Uni depuis près de 1200 ans. Mais la famille régnante actuelle a inventé son propre nom de famille. À l’origine, la famille s’appelait Maison de Saxe-Cobourg-Gotha, mais la phobie du nom à consonance trop allemande lui avait fait perdre quelque peu de prestige.
À sa place, le nom de Windsor a été adopté pendant la Première Guerre mondiale.
La reine Elizabeth a ensuite autorisé les futurs descendants à être surnommés Mountbatten-Windsor, combinant le nom de famille d’origine de son mari.
La reine Elizabeth II et son mari, le prince Phillip, duc d’Édimbourg, sont des parents éloignés. En fait, ils sont cousins, ils partagent tous deux les mêmes arrière-arrière-grand-parents, la reine Victoria et le prince Albert de Saxe-Cobourg-Gotha.
Son règne a été le plus long de tous les monarques britanniques (depuis 1952), elle aurait régné, OFFICIELLEMENT, pendant 70 ans et 7 mois.
Mais parmi les monarques les plus illustres de la lignée on peut trouver Henri VIII (qui fonda l’Église d’Angleterre et décapita deux de ses six épouses) et Elizabeth I, la reine vierge, sous le règne de laquelle l’Angleterre a prospéré à l’âge d’or.
Près d’un tiers de la population mondiale, 2,5 milliards de personnes, sont sujets de la couronne britannique, ex-Elizabeth II et maintenant le roi Charles III. Cela s’appelle le Commonwealth des Nations, qui est considéré comme une association “volontaire” de 56 états souverains.
Mais à cela il faudrait rajouter un 57ème territoire qui est complètement indépendant des États-Unis et qui en est pourtant sa capitale officielle: le District de Columbia de Washington. Complètement à part, il est juridiquement sous le contrôle du Congrès américain.
En fait, DC a son propre drapeau et sa propre constitution indépendante. La loi de 1871 adoptée par le Congrès a créé une “société” distincte connue sous le nom d’ÉTATS-UNIS et de gouvernement d’entreprise pour le district de Columbia. Ainsi, DC agit en tant que société par le biais de la loi. Le drapeau du district de Columbia à Washington a 3 étoiles rouges, les 3 étoiles désignant DC, la Cité du Vatican et la City de Londres…
Pour en revenir à la Reine et pour les anecdotes marquantes;
En 1936, Édouard VIII abdiqua le trône pour épouser une mondaine américaine divorcée deux fois, Wallis Simpson. Il a été remplacé par son frère cadet et le père de la reine Elizabeth II, le roi George VI.
Celui qui initia la petite princesse à faire le salut nazi…
La seconde épouse du prince Charles, Camilla, est la descendante d’Alice Keppel, une ancienne maîtresse de l’arrière-arrière-grand-père de Charles, Édouard VII. Ce qui, en plus d’une attraction fatale, servi d’argument final à Camilla pour séduire celui-ci. Camilla fut la tristement célèbre maîtresse de Charles, qui provoqua son divorce avec la bien-aimée princesse Diana.
LA PRINCESSE DES COEURS
Mais avant cela, la princesse Diana, délaissée par le prince Charles et abandonnée par la famille Royale, eut une affaire avec James Hewitt, un officier de cavalerie, qui serait le père biologique du prince Harry.
D’autre part, Après son divorce avec le Prince Charles, la princesse Diana s’est investie dans de nombreuses causes humanitaires. On retient particulièrement son engagement contre les mines antipersonnel.
Pour les États-Unis notamment, l’engagement d’une personnalité comme Diana, extrêmement populaire au Royaume-Uni et au-delà, est venu mettre dans le débat sur les mines une charge émotionnelle, dommageable pour leurs propres intérêts.
Un rapport des services de renseignements américains en 1997 le déplorait. L’action de Diana leur semblait préjudiciable pour l’alliance entre les États-Unis et le Royaume-Uni sur le sujet. Le gouvernement de Tony Blair a dû ratifier un traité quelques semaines avant le premier anniversaire de la mort de la Princesse.
Enfin, récemment séparée du chirurgien pakistanais Hasnat Khan, Diana entamait une affaire avec le fils du milliardaire Mohamed Al-Fayed, Dodi Al-Fayed. C’est avec celui-ci qu’elle fut victime de son “accident” fatal.
Ce qu’il faut se rappeler est que, d’une part, Mohamed Al-Fayed souhaitait désespérément obtenir un passeport britannique auquel il aurait dû avoir légitimement droit, au vu de ses investissements sur le sol britannique, mais la reine lui aurait refusé cette attribution à plusieurs reprises.
D’autre part, la famille Al-Fayed était liée à un grand marchand d’armement, le grand-père maternel de Dodi, Adnan Khashoggi. Celui-ci était l’homme le plus riche au monde en 1980 avec une fortune estimée à 4 milliards de dollars.
Cela, en plus des actions humanitaires de Diana, n’était pas du goût de la couronne britannique et des États Unis. Ce serait une des raisons qui aurait provoqué l’assassinat déguisé en accident, par la CIA, le MI6, et la DGSE, de la princesse des cœurs.
Bien entendu, Elizabeth II y a certainement eu un rôle prépondérant.
Mais, l’autre visage de la reine était autrement plus extraordinaire qu’une simple face froide cachant des priorités de raisons d’état en annonçant, faussement consternée, la mort de Diana.
DU SANG MUSULMAN
Enfin, il y a encore plus loin, une ascendance très surprenante, une lignée de sang qui remettrait certainement une partie de l’histoire en question si elle était admise, pour peu, encore, que ce soit la seule…
Selon une étude réalisée par des historiens, donnant des affirmations choquantes partagées à l’origine par Burke’s Peerage, une autorité britannique en matière de généalogie royale et un des plus grands éditeurs généalogiques au monde, et qui ont récemment refait surface dans un journal marocain, La reine Elizabeth II est directement apparentée au prophète Mahomet. Elle serait en fait sa 43ème arrière-petite-fille.
Le journal Al-Ousboue, en effet, citant cette étude de 1986, affirme que la lignée de la reine passe par le comte de Cambridge au 14e siècle, le Roi Edouard IV au 15ème siècle et traverse le Portugal et l’Espagne musulmans médiévaux jusqu’à la fille du prophète, Fatima. Ce qui fait d’elle une cousine des rois du Maroc et de Jordanie ainsi que de l’ayatollah Ali Khamenei, le chef suprême de l’Iran.
Le grand mufti d’Égypte Ali Gomaa, aurait méticuleusement vérifié les enregistrements généalogiques qui lie apparemment les deux.
Pour ceux qui douteraient du lien possible entre ces deux civilisations, une bague viking datant du 9ème siècle fut découverte en Suède dans les années 1800, lors de fouilles archéologiques. Dessus était gravé en arabe ancien: “Pour Allah”.
PAÏENNE DÉGUISÉE EN CHRÉTIENNE
À l’âge de 20 ans, Elizabeth, alors princesse, a été initiée au grade de “Ovate” dans la religion druidique galloise.
Un Ovate est un Druide en formation qui a déjà prouvé qu’il était un maître du chant bardique et de la tradition orale, et qui étudie maintenant les arts ésotériques de l’astronomie, de l’astrologie, de la divination, de la philosophie et des rituels.
Les images de cette cérémonie ont pu être transmises, bien que les Windsor ont tout fait pour en maintenir le secret. On ne sait pas si la Princesse a obtenu plus tard le grade de Druide, son couronnement ayant eu lieu à l’âge de 26 ans.
Quoi qu’il en soit, le druidisme est une religion païenne, la Reine ne pouvait donc pas être chrétienne comme l’impliquait son statut de monarque.
CANNIBALISME ET SATANISME
LA REINE ELIZABETH II ET LE CANNIBALISME: DÉLIRE OU COMPLOT?
Nous avons tous grandi, nos générations, avec les concepts du père Fouettard, de l’Ogre, etc… De quoi nourrir notre inconscient, nous préparer et nous formater à la soumission plus facile. Mais ce qu’il nous reste à découvrir promet de profondément transformer à jamais notre conscience collective.
Il y déjà eu beaucoup de témoignages dérangeants sur la famille royal, mais tellement hors norme, qu’ils furent drastiquement “négligés” par les médias dans leur ensemble.
L’Angleterre est célèbre pour plusieurs choses, mais la famille royale arrive facilement en tête de liste. Par conséquent, la matriarche de la famille royale britannique ne manque pas de faire parler d’elle, en particulier pour toute sorte de rumeurs. C’est dans ce cadre qu’une théorie du complot sur la reine Elizabeth II et le cannibalisme a fait surface.
Son règne a duré soixante-dix ans et sept mois, plus longtemps que celui de tout autre monarque britannique. Au cours de son règne, elle a survécu, OFFICIELLEMENT, jusqu’à quinze premiers ministres et quatorze présidents américains.
À 94 ans, avant la crise du CoViD et la désertion du palais de Buckingham qui s’en suivi, elle était toujours active dans ses fonctions de reine. Sa beauté et sa vitalité d’alors, suffisaient à faire douter de son âge. Explorons donc une théorie du complot qui propose la raison possible de son apparence juvénile.
Cette théorie remonte à 1973 lorsqu’un écrivain américain, Hubert Humdinger, a commenté la longévité de la reine. Il a publié un article dans lequel il a fait remarquer à quel point Elizabeth II était « remplie de plus d’énergie que le soleil ». Bien que cela n’ait rien d’extraordinaire, en apparence un compliment classique, ce qui suit est beaucoup plus sombre.
Il a émis l’hypothèse que la vitalité juvénile de la reine venait de son habitude cachée de manger de la chair humaine. Il parla de l’énergie spirituelle qui est présente chez un être humain et qui peut être transmise par la consommation de viande.
“Elle doit manger de la chair humaine pour être aussi vive.”, aurait-il écrit sans ambage dans un de ses articles du magazine “We Royalty”,intitulé: “Queen Elizabeth II Confirmed Cannibal” (La Reine Elizabeth II confirmée cannibale).
Il y aurait déclaré: “Il y a une immense quantité d’énergie spirituelle dans le muscle humain.” Il a également fait allusion à la famille royale se livrant à des rituels sataniques et à une soif de sang.
On ne peut trouver aucune trace de ce magazine aujourd’hui.
La carrière de Humdinger a lentement dégénéré après cela, d’autant plus qu’il a commis des envolées du genre d’appeler Madonna la “pute de Babylone”, et a suggéré que si elle voulait une peau plus brillante comme la reine Elizabeth II, elle devrait également devenir cannibale. Il aurait certainement dit quelque chose de légèrement différent à Lady Gaga…
Alors que Humdinger a été chassé des couloirs étouffants et aseptisés de l’Académie, ses paroles sont maintenant, près de 40 ans plus tard, recherchées. Malheureusement, ses livres et articles littéraires ont longtemps été détruits dans les feux ardents de la tyrannie sur la liberté d’expression et la vérité décalée.
Hubert Humdinger est l’auteur de 367 livres sur les phénomènes culturels et la désinformation trouvés dans le monde de la psychologie, de la science, de la politique et de la sociologie. Mais ne vous attendez pas à trouver sa page sur Wikipédia. Tous ses livres ont été brûlés lors d’un événement peu connu appelé la purge Humdinger. Le peu d’ouvrages restants sont extrêmement rares.
Le Département d’État avait déclaré que le premier amendement ne s’appliquait pas à des idées aussi effroyablement claires et créatives que celles de Humdinger. La liberté d’expression ne protégeait pas la connexion de tant de vérités universelles de manière aussi précise, tout comme certains produits chimiques simples ne devraient pas être stockés les uns à côté des autres pour risque de combustion.
« L’alignement d’idées non orthodoxes dans une grande unité fournit, selon nous, un accès malsain au pouvoir mental et spirituel qui réside en chaque être humain, mais n’est pas destiné à être éveillé d’un coup », a déclaré un porte-parole du gouvernement lors d’une brève conférence de presse. en 1971. « Les mots peuvent allumer et allument des feux dans l’esprit des hommes », a déclaré le porte-parole, « et il semble que Humdinger s’efforce non seulement d’allumer les incendies, mais aussi de verser de l’essence dessus et de les souffler dans des tourbillons de feu incontrôlable. »
L’écrivain a dû s’exiler peu de temps après.
Hubert Humdinger ne semblait pas ravi d’avoir raison avec son analyse de longue date du côté obscure de la Reine. « J’ai toujours eu raison », a-t-il déclaré dans une communication privée depuis sa maison cachée en Europe du Nord. « Tout ce que j’ai dit était juste archivé dans les oubliettes. A côté du Divin. Cependant, vous avez envie de le dire”.
Interrogé sur ses commentaires concernant la viande humaine comme étant une source de plus d’énergie pour son consommateur, il a précisé : “Il ne s’agit pas de nutrition ou de vitamines et de minéraux. Manger des humains est une question de pouvoir, de gloire. C’est une aubaine spirituelle. Mais c’est tordu et ce devrait être interdit.”
ENLÈVEMENTS D’ENFANTS ?
Aussi bizarre que cela puisse paraître, Humdinger n’est pas le seul à avoir émis cette hypothèse. L’analyste financier, Jim Willie, pousse la théorie de l’énergie spirituelle un peu plus loin. Il suggère que la reine est une sataniste qui sacrifie des enfants en échange de sa jeunesse.
Et ses affirmations sont étayées par des rapports d’enfants disparus au Canada lorsque la reine arrive pour une visite d’État.
William Combes, un indien du Canada, a témoigné sur le fait qu’il a vu la reine d’Angleterre kidnapper dix enfants aborigènes comme lui, de son pensionnat catholique en 1964.
Au milieu du mois d’octobre 1964, le Prince Philip et la Reine Elizabeth II rendirent visite à un pensionnat catholique pour aborigènes à Kamloops dans la Colombie Britannique. William Combes avait 12 ans lors de cet événement.
Voici un extrait de son témoignage:
“Je me rappelle que cela paraissait étrange car ils étaient venu d’eux-mêmes, sans aucune cérémonie, sans accompagnant d’aucune sorte. Mais je les ai reconnu et le Principal nous a déclaré que c’était la Reine. Nous avions tous, juste le jour d’avant, reçu des vêtements neufs et de la bonne nourriture, dont nous étions privés depuis des mois. J’ai fait partie d’un groupe d’enfants qui se sont rendus à un picnic en leur compagnie, ainsi que quelques prêtres, le jour de leur arrivée. Je me rappelle que c’était bizarre, nous devions nous baisser et embrasser les chaussures de la Reine qui étaient toutes blanches…
… Après un moment, j’ai vu la Reine et le Prince quitter le picnic avec 10 enfants, et on ne les a jamais revu. Personne n’a jamais plus revu ces enfants que nous connaissions bien. Ils étaient 7 garçons et 3 filles, âgés de 6 à 14 ans.”
Comme aux États Unis et en Australie, les aborigènes du Canada ont longtemps été considérés comme des sous-êtres, facilement manipulables par des procédés pervers. On a créé des pensionnats religieux dans le but de satisfaire un objectif dont le leitmotiv était: « Tuer l’indien et sauver l’homme ».
Plusieurs charniers ont été depuis découverts dans les environs de Kamloops. Environ 150.000 enfants fréquentaient ces écoles particulières et, jusqu’à présent, quelque 4.100 décès avaient été comptabilisés.
On peut considérer que ce chiffre est gravement sous-estimé. Certains ont recensé environ 60.000 enfants aborigènes déclarés disparus au Canada durant cette période de la fin du 19ème à la fin du 20ème siècle.
William Combes a été assassiné le 26 février 2011, alors qu’il venait d’être hospitalisé pour une infection du sang et alcoolisme. Bien qu’il fut sous protection spéciale, il fut empoisonné en dehors de la présence des infirmières qui ont témoigné par la suite.
Il devait être le témoin principal lors des audiences prévues du Tribunal International sur les Crimes de l’Église et de l’État (ITCCS – International Tribunal into Crime of Church and State), à Londres. Mais il est décédé peu de temps avant de pouvoir témoigner.
Elizabeth II et le Pape Benoit XVI avaient été assignés à comparaître devant l’ITCCS pour complicité de trafic d’enfants, génocide et crime contre l’humanité. Il n’y aurait pas eu de suite, OFFICIELLEMENT…
Au début du mois de janvier 2012, le corps démembré d’une jeune fille de 17 ans a été retrouvé sur les terres de la Reine, à environ 2 kilomètres de la résidence royale du domaine de Sandringham. L’auteur du crime n’a jamais été retrouvé.
Puis, en 2015, lors d’un défilé de la garde devant Buckingham Palace, un vidéaste amateur s’est trouvé surpris de filmer en arrière plan un jeune homme nu, s’échappant du dernier étage du palais à l’aide d’une corde tressée avec des draps.
La vidéo n’a pas pu être censurée, mais elle est lourdement filtrée sur YouTube.
Aucune explication n’a jamais été donnée sur cet évènement. Cannibalisme ou pédophilie?…
LE CHÂTEAU DE WINDSOR
Connu comme sa principale retraite de week-end, le château de Windsor a été en grande partie rénové par la reine Elizabeth II lorsqu’elle a pris d’assaut le trône en 1952. Au fil des ans, des sources internes ont révélé des extraits de détails révélateurs qui, une fois assemblés, représentent une femme très étrange. se faufilant dans les salles élargies et archaïques du château sur un scooter à moteur gonflé, tout en grinçant ses dents pointues et tordues. Mais personne de crédible n’avait encore fait allusion aux lanières de viande humaine préparées dans son congélateur.
DÉCOUVERTE SURPRISE
Un militaire reçu un jour l’ordre d’enquêter sur d’éventuels « problèmes électriques » dans la cuisine du côté Est du château. Le militaire, accompagné de trois policiers anglais autorisés, a fouillé dans la cuisine et a trouvé un nid de câblage défectueux derrière le vieux réfrigérateur. Il fit alors appel à son équipe d’électriciens. Pendant ce temps-là, la reine faisait du hors-bord en France.
Avant de partir, le militaire (qui a refusé de donner son nom aux médias) a ouvert le congélateur privé de la Reine. « Je voulais vérifier à quel point c’était froid. Je n’étais pas sûr que le congélateur recevait suffisamment de jus pour garder tout aussi froid que nécessaire. » Mais ce qu’il trouva était un autre problème.
Des lanières de viande écorchées, étirées comme du bacon et soigneusement emballées dans un film transparent ont d’abord attiré l’attention du militaire. Les policiers n’étaient pas dans la cuisine à ce moment-là, mais se prélassaient dans le somptueux salon de la reine.
Le militaire les a interrompus pour leur demander s’ils pouvaient regarder dans le congélateur avec lui. Il tremblait et l’expression sur son visage suggérait qu’il était tombé sur un gros problème. « Je pensais qu’il avait allumé un incendie ou fait quelque chose d’horrible », a déclaré un agent, « parce qu’il avait l’air d’avoir vu Queen Bloody Mary. »
Les officiers ont été consternés de fouiller dans les morceaux congelés personnels de la reine. « Comme jeter un coup d’œil à ses maudits sous-vêtements » a déclaré l’un d’eux. Mais le militaire a insisté. « Nous pensions que ça devait en valoir la peine. Et ce fut le cas. Il en retira un avant-bras gelé. Et puis une partie de jambe. Un petit morceau de poitrine masculine. Et quelques autres parties que je préfère ne pas décrire”, a déclaré l’officier qui s’était tenu le dernier dans la file.
Au début, les policiers pensaient qu’ils regardaient des morceaux de porc emballés, mais ils se sont vite rendu compte qu’ils regardaient les restes d’un humain. Que faire ensuite? “Normalement, nous vérifions la liste des personnes disparues, prélevons des échantillons d’ADN et détenons immédiatement le suspect avec les preuves dans son congélateur. Ce que nous avions là était une série de morceaux d’un homme blanc. Sans tête, ni mains, ni pieds. Mais la reine a des privilèges spéciaux…”, a déclaré l’un des policiers. « Tout au long de l’histoire, ça a toujours été comme ça. »
“Vous ne pouvez pas poursuivre la reine pour avoir une étrange habitude. Je suis sûr qu’elle a obtenu ces pièces légalement quelque part à l’étranger. De toute façon, nous n’allons pas nous pencher là-dessus”, a déclaré l’agent qui s’était tenu en première ligne. “Je sais que les “Yankees” auront une crise, mais la reine est la monarchie de Dieu. Elle est l’épouse de Dieu”.
Ses collègues ont accepté. Le militaire n’a eu d’autre choix que de quitter les lieux. Il devait rédiger un récit de ses expériences dans un livre révélateur très attendu, “Peeking At the Queen’s Undies: the Long History of a Prominent Meat-Eating Dynasty” (Regarder les dessous de la reine : la longue histoire d’une dynastie de mangeurs de viande de premier plan)…
DIGNITÉ PERTURBÉE
Elizabeth portait presque toujours des robes fleuries. Elle enfilait souvent un chapeau à larges bords avec de fausses fleurs collées sur le devant. Elle était un spectacle majestueux à tout dîner de dignitaire où des caméras sont présentes. Pourtant, derrière l’œil des médias, derrière les murs réconfortants de son vaste château de Windsor, elle était autre chose.
« Elle est vraiment folle », a déclaré un charpentier anglais nommé John Bellows, dans une interview perdue de 2001. « Parfois, elle est sans famille ni amis dans cet immense château. Nous travaillions au début des années 90 et nous entendions des cris maniaques et des cris d’animaux joyeux et forts, en particulier tout au long de « l’annus horribilis ». Nous avions été avertis à l’avance que l’environnement serait épineux, mais nous ne nous attendions pas à cela.
La reine Elizabeth a traversé de nombreuses turbulences au début des années 90. Elle a appelé 1992 « annus horribilis » parce que ses fils ont tous deux divorcé de leurs femmes et qu’un feu de forêt a tourbillonné dans une partie du château. Il est largement admis dans toute l’Inde, par exemple, qu’elle se serait endormie et laissé tomber sa cigarette allumée.
Bellows a ordonné à son équipe de se taire, et dix ans plus tard, il a finalement lui-même parlé pour révéler certains des secrets de la famille la plus estimée au monde.
Le ton électrique geignard d’un scooter électrique modifié hante toujours Bellows. Il serait en train de replâtrer un mur ou de déchirer soigneusement les entrailles d’une salle de bain pour atteindre les conduites d’eau, tandis que le bourdonnement continu du scooter le rendait presque fou.
« Je n’ai pas peur de ces chaises mobiles en général, mais quand votre reine est sur l’une d’elles et qu’elle se déplace à des vitesses suffisamment élevées pour ébouriffer ses cheveux raides, cela devient dérangeant. » Elizabeth tient également une grimace pincée sur son visage alors qu’elle vole d’un bout à l’autre du château. « C’est comme si elle ne pouvait pas supporter toute la force G, mais elle aime quand même la vitesse. » Il convient de noter que la reine n’a aucun problème pour marcher.
Bellows a également mentionné les dents dentelées d’Elizabeth. « Je détesterais être mordu par la reine », a-t-il déclaré. « Ses hachoirs me rappellent ce personnage sauvage de “Moby Dick”, Queequeg, dont les dents étaient en forme d’épingle et aiguisées pour déchirer n’importe quel type de viande.
Le charpentier avait fait ces déclarations des années avant la découverte de restes humains dans le congélateur de la reine Elizabeth.
John Bellows a disparu dans un supposé accident de bateau. « John n’était pas un grand nageur », a déclaré sa sœur à la police au moment de l’accident. « C’est comme s’il était fait de bois”… Son corps n’a jamais été retrouvé.
LE SANG ROYAL
L’amélioration de la santé serait exactement la raison pour laquelle la reine Elizabeth II se régalait de sang jeune.
Ce que la royauté britannique et les souches consanguines les plus élitistes de la planète savaient depuis des siècles a été prouvé par un groupe d’études publiées dans les revues “Science” et “Nature Medicine”.
Lorsqu’une souris vieillissante a été transfusée avec le sang d’une souris plus jeune, il y a eu « de nettes améliorations de la mémoire, de la fonction sensorielle, de la force et de l’endurance », comme le rapporta le “LA Times” .
Le journal a dû jouer avec son public en demandant facétieusement dans la première phrase de l’article: “Une transfusion de sang jeune peut-elle inverser la perte de capacités physiques et mentales chez les personnes âgées? Il s’agirait d’un vieux remède bien connu par certaines personnes”.
L’étude n’est pas beaucoup plus sérieuse dans “Nature”. La plume tâtonne autour du sujet comme un enfant effrayé enfermé dans une pièce sombre et humide du sous-sol du château de Windsor, et tâtonnant les murs et les meubles afin de localiser et d’allumer l’interrupteur…
« Les chercheurs disent qu’une protéine spécifique, présente dans le sang des souris et des humains, semble être à l’origine de ce rajeunissement. »
La reine Elizabeth II a bénéficié de ce même processus, mais l’article va bien plus loin que cela.
Une protéine spécifique! “Les royalistes connaissent l’ensemble exact des protéines qui dévisseront et recâbleront des aspects particuliers de leur ADN pour remonter le temps dans des domaines spécifiques, comme la repousse du foie, ou un afflux du composé chimique dans le cerveau qui augmente la brutalité et diminue la sensibilité au sort des autres.”…
Une modification humaine précise est essentielle, après tout, pour continuer à gouverner le monde avec les armes et les banques de la civilisation occidentale moderne.
Mais cela a jusqu’à présent été gardé secret, sauf pour les quelques chercheurs et experts qui étudient l’histoire alternative du monde. Ce que beaucoup de gens aiment appeler, les théories du complot.
Ce qui semble dégoûtant ou diabolique au citoyen moyen est en réalité considéré comme un système d’exploitation sain par l’élite. En s’attaquant aux jeunes enfants de paysans, en engageant parfois des voyous pour les voler dans les ghettos et les bidonvilles usés, et d’autres fois en payant gracieusement les familles pour leur progéniture en lambeaux, les familles royales croient pouvoir insuffler dans leurs lignées étouffées par l’oisiveté générant des vices, atteintes par des consanguinités, une nouvelle vivacité.
Mais, à l’instar de toute drogue dure, ce n’est qu’un leurre qui ne dépend que de la densité exponentielle de l’approvisionnement.
L’arriération mentale a toujours été élevée dans les lignées décalées de la Maison Stuart et de la Maison Tudor d’où Elizabeth II est issue.
Les résultats n’ont pas été très positifs non-plus pour la Maison de Windsor.
Mais la reine avait l’air plus vieille vers la fin, pourrait-on dire, malgré les rajeunissements dont elle avait fait preuve dans le passé. Elle avait fini par avoir l’air fatiguée, usée et froissée. Elle avait souvent la grimace gravée d’un patient hospitalisé, ou d’un animal aux aboies. Elle perdait sa vivacité, subitement.
Et le prince Philip, avant de décéder, avait véritablement la face d’un mort-vivant. Y aurait-il eu des pénuries de ravitaillement?…
UNE LONGUE LIGNÉE DE CANNIBALES
La reine Elizabeth et la famille royale descendraient d’une longue lignée de cannibales.
La famille royale britannique est réputée depuis longtemps pour son amour des banquets somptueux et des recettes riches. Mais un historien britannique a prouvé de manière concluante que les ancêtres de la reine Elizabeth avaient aussi un goût pour la chair humaine.
Une nouvelle étude sur le cannibalisme médicinal a révélé que la royauté britannique mangeait ouvertement des parties du corps humain aussi récemment qu’au 19ème siècle, et il y a des suggestions que la pratique est devenue clandestine après cela.
L’auteur ajoute que le cannibalisme n’était pas une pratique réservée aux monarques mais était répandue parmi l’aristocratie en Europe.
Cannibalisme médicinal : La reine Mary II et son oncle le roi Charles II ont tous deux pris du crâne humain distillé sur leur lit de mort en 1698 et 1685 respectivement, selon la recherche.
Alors même qu’ils dénonçaient les cannibales barbares du Nouveau Monde, ils appliquaient, buvaient ou portaient de la poudre de momie égyptienne, de la graisse humaine, de la chair, des os, du sang, de la cervelle et de la peau.
Selon le Dr Richard Sugg de l’Université de Durham, la mousse prélevée sur les crânes de soldats morts était même utilisée pour soigner les saignements de nez.
Le Dr Sugg a déclaré: “Le corps humain a été largement utilisé comme agent thérapeutique avec les traitements les plus populaires impliquant la chair, les os ou le sang.”
“Le cannibalisme a été trouvé non seulement dans le Nouveau Monde, comme on le croit souvent, mais aussi en Europe.
Une chose qu’on nous enseigne rarement à l’école et qui pourtant est mise en évidence dans les textes littéraires et historiques de l’époque est la suivante: Jacques Ier a refusé la médecine du cadavre; Charles II a fait sa propre médecine de cadavre.
Avec Charles II, d’éminents utilisateurs ou prescripteurs comprenaient François Ier, le chirurgien d’Elizabeth Ier John Banister, Elizabeth Grey, comtesse de Kent, Robert Boyle, Thomas Willis, William III et la reine Mary. »
Nouveau monde : Représentation du cannibalisme dans la tribu brésilienne Tupinambá telle que décrite par Hans Staden en 1557. Que ce soit vrai ou non, le mythe ignorait le fait que les Européens consommaient de la chair humaine.
“L’histoire du cannibalisme médical”, soutient le Dr Sugg, “a soulevé un certain nombre de questions sociales importantes”.
Il a déclaré: “Le cannibalisme médical a utilisé le poids formidable de la science européenne, de l’édition, des réseaux commerciaux et de la théorie éduquée.
Alors que la médecine du cadavre a parfois été présentée comme une thérapie médiévale, elle était à son apogée pendant les révolutions sociales et scientifiques de la Grande-Bretagne au début de la modernité.
Il a survécu jusqu’au XVIIIe siècle et, parmi les pauvres, il s’est obstiné jusqu’à l’époque de la reine Victoria. Indépendamment de la question du cannibalisme, l’approvisionnement en parties du corps nous semble maintenant très contraire à l’éthique.
À l’apogée du cannibalisme médicinal, des corps ou des os étaient régulièrement prélevés dans des tombes égyptiennes et des cimetières européens. Non seulement cela, mais au XVIIIe siècle, l’une des plus grandes importations d’Irlande en Grande-Bretagne était les crânes humains. Il est difficile de dire si tout cela était ou non pire que le marché noir moderne des organes humains. »
Cette peinture de l’exécution de Charles Ier en 1649 montre des gens qui se précipitent pour éponger le sang de l’ancien roi. On pensait qu’il avait des propriétés curatives.
Le livre donne de nombreux exemples vivants, souvent troublants, de cette pratique, allant des échafaudages d’exécution d’Allemagne et de Scandinavie, en passant par les tribunaux et les laboratoires d’Italie, de France et de Grande-Bretagne, aux champs de bataille de Hollande et d’Irlande et jusqu’aux tribaux mangeurs d’hommes. des Amériques.
Un tableau montrant l’exécution de Charles Ier en 1649 montrait des gens épongeant le sang du roi avec des mouchoirs.
Le Dr Sugg a déclaré: “Cela a été utilisé pour traiter le “mal du roi”, une plainte plus généralement guérie par le toucher des monarques vivants. En Europe continentale, où la hache tombait régulièrement sur le cou des criminels, le sang était le médicament de choix pour de nombreux épileptiques.
Au Danemark, le jeune Hans Christian Andersen, célèbre écrivain, a vu des parents faire boire du sang à leur enfant malade à l’échafaud. Ce traitement était si populaire que les bourreaux demandaient régulièrement à leurs assistants de recueillir le sang dans des tasses alors qu’il jaillissait du cou des criminels mourants.
Occasionnellement, un patient peut court-circuiter ce système. Lors d’une exécution au début du XVIe siècle en Allemagne, un vagabond a attrapé le corps décapité avant qu’il ne tombe, et a bu son sang… « .
Le dernier cas enregistré de cette pratique en Allemagne remonte à 1865.
Alors que Jacques Ier avait refusé de prendre du crâne humain, son petit-fils Charles II a tellement aimé l’idée qu’il a acheté la recette. Ayant payé peut-être l’équivalent de 6.000 £ pour cela, il distillait souvent lui-même du crâne humain dans son laboratoire privé.
Encore selon le Dr Sugg: “En conséquence, connu avant longtemps sous le nom de “gouttes du roi”, ce remède fluide était utilisé contre l’épilepsie, les convulsions, les maladies de la tête et souvent comme traitement d’urgence pour les mourants.
C’était la toute première chose que Charles a pris le 2 février 1685, au début de sa dernière maladie, et qui lui fut administrée non seulement sur son lit de mort, mais également de la même manière pour la reine Mary en 1698. »
Mais tout cela, aujourd’hui, peut paraitre archaïque du point de vue des “complotistes”, car nous avons pu découvrir récemment l’existence d’une “nouvelle” drogue dure, la même qu’utilisaient les ancêtres d’Elizabeth II, une drogue extrêmement puissante et extrêmement destructrice qui porte désormais un nom scientifique: l’adrénochrome…
La Reine Elizabeth II est décédée le 8 septembre 2022, OFFICIELLEMENT car une autre théorie du complot parle de l’arrestation et de l’exécution de la Reine Elisabeth II au début de la crise du CoViD, pour les raisons mentionnées ci-dessus, et qu’elle aurait été remplacée par des sosies, ou des clones, des images d’archive exclusives et arrangées, et autres hologrammes.
La vraie histoire qui s’écrit maintenant, en ces jours “d’Apocalypse”, nous le dira certainement.
Le Prince Philip, Duc d’Edimbourg, époux de la reine Elisabeth II, a déclaré en août 1988, dans la presse allemande:
“Dans le cas où je me réincarnerais, j’aimerais revenir sous la forme d’un virus mortel, afin de contribuer à résoudre le problème de la surpopulation.”
Puis, lors d’une autre occasion: “Le cannibalisme est une solution radicale mais réaliste au problème de la surpopulation”…